Récit d’un breton qui ouvre sa crêperie à l’étranger

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Ouvrir une crêperie n’est pas surprenant de la part d’un Breton, mais cela devient une autre histoire lorsqu’il s’agit d’en ouvrir en Thaïlande. D’abord, la population locale n’est pas habituée à cette cuisine. Ensuite, le pays possède une forte identité culinaire. Pourtant, c’est le type de projet que veut réaliser Franck Martin, originaire de la Bretagne, précisément d’Abbaretz. Aventurier dans l’âme et désireux depuis toujours d’avoir sa propre crêperie, l’homme de 35 ans décide de créer une nouvelle vie en lançant sa propre affaire en Thaïlande.

Une longue réflexion

L’idée d’ouvrir une crêperie en Thaïlande lui est venue lors de son troisième voyage dans ce pays. Il a visité la ville de Chiang Mai qui l’a tout de suite séduit lors de sa première escapade. Charmé par la richesse culturelle de cet endroit, il a pensé à y vivre un jour et non dans l’immédiat. Il avait encore son travail qui l’attendait.

À son retour, l’informaticien de métier et ancien apprenti dans une crêperie a commencé à réfléchir à l’idée d’une expatriation en Thaïlande. Cependant, une question se posait pour lui quant à l’activité à exercer à Chiang Mai. Après mure réflexion, il lui est venu l’idée de réaliser un vieux rêve d’enfant qui est d’ouvrir une crêperie.

De plus, son idée a été réconfortée par le fait que la ville accueillait de nombreux expatriés qui souhaitent investir en Thaïlande. Ils pourraient devenir des clients potentiels. Un ami qu’il s’est fait sur place lui a affirmé que c’était une idée originale.

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Des recherches sur l’ouverture d’un commerce en Thaïlande

Une fois la décision prise, le breton a décidé de monter son projet avant de partir. Parmi les étapes qu’il a suivies, il a créé un business plan. Il a aussi imaginé un nom qu’il préfère garder secret de peur que d’autres investisseurs puissent copier son idée. Durant ces étapes, il a prédéfini un budget qui entre dans ses économies. Franck Martin étant célibataire, cette partie a été facile pour lui comme l’idée de partir pour changer de vie.

Pour monter son business plan, il a effectué de nombreuses recherches sur la ville. Les informations récoltées ont été recoupées avec celles fournies par son ami. Pour les trouver, il s’est rendu sur des sites spécialisés, dont celui de Sante Mobility. Sur la plateforme, il a trouvé des informations sur les types de visas possibles comme celui non immigrant IB. Il a également découvert des renseignements sur le coût de la vie en général : logement, transport, Internet.

En outre, il a contacté quelques propriétaires afin de trouver un local pour sa crêperie. Son projet avance bien, car il est en train de réaliser les démarches administratives. Il n’hésite pas à se déplacer sur place pour les démarches les plus importantes : demande de permis de travail, enregistrement fiscal, ouverture de compte bancaire. De plus, certaines étapes comme le permis de travail doivent être demandées uniquement sur place auprès du ministère du Travail.

En apprendre plus sur les assurances nécessaires pour un expatrié

Le projet d’ouverture de crêperie de Franck Martin est en bonne voie. Il devrait, normalement, voir le jour prochainement. Toutefois, il lui reste encore à régler une question d’une importance capitale : l’assurance santé. En décidant de s’expatrier, le breton renonce à quelques droits fondamentaux. L’un d’entre eux est la perte du bénéfice du régime français de Sécurité sociale.

De plus, le système en Thaïlande est différent. Dans ce sens, il est préférable d’être couvert pour bénéficier de soins appropriés en cas de maladie. Dans son cas, deux possibilités s’offrent à lui pour être couvert par une assurance internationale : Assurance complémentaire à la Caisse des Français de l’étranger ou Assurance au 1er euro. Encore une fois, il s’est tourné vers le site sante-mobility.com pour avoir toutes les informations qui permettent de faire un choix adapté.

Au regard de l’histoire de Franck Martin, il n’est pas facile de préparer une expatriation, surtout pour l’ouverture d’un commerce. Ce projet requiert une longue réflexion et la réalisation de nombreuses étapes. Il faut surtout connaître les différentes contraintes pour l’implantation dans le pays de destination. Il est aussi nécessaire de réfléchir à l’assurance santé, car la qualité des soins varie d’un pays à un autre.

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